L’exemple est flagrant avec leurs conseils pour le petit-déjeuner, incitant à des choix nutritionnels qui relèvent presque du vandalisme sanitaire !
Voici le florilège de ces aberrations :
1- Buvez un jus d’orange pour faire le plein d’énergie
C’est le BEST-SELLER du mensonge nutritionnel.
Faites le test autour de vous, et vous verrez que la plupart des gens s’imaginent que les jus de fruits sont bons pour la santé
C’est faux. Car un jus d’orange, même bio, c’est avant tout beaucoup de sucre.
La différence avec un fruit entier est que le sucre n’est pas seul, il est accompagné de fibres qui ralentissent son passage dans le sang, ce qui n’entraîne pas un pic de glycémie brutal.
Un verre de jus d’orange, lui, contient autant de sucre qu’un verre de soda et passe très vite dans votre sang en obligeant votre pancréas à produire de l’insuline.
Quant à la vitamine C pour laquelle il est soi-disant conseillé de boire ce jus d’orange, sachez qu’elle s’est déjà partiellement détériorée le temps de presser le fruit et de le boire.
2- Une bonne tartine de confiture
Le pain blanc et la confiture (même faite maison) sont de véritables petites bombes à sucre, qui, comme le jus d’orange, entraînent un pic de glycémie brutal.
Il faut savoir que l’indice glycémique du pain (indice qui mesure l’intensité avec laquelle un aliment augmente votre taux de sucre sanguin) est situé autour de 70, comme celui du sucre de table.
Le pain blanc est élaboré à partir de farine blanche, raffinée.
Le germe et le son du blé ayant été retirés, il ne reste quasiment plus rien des nutriments initialement présents dans le grain de blé : calcium, fer, zinc, vitamines B et vitamine E, etc.
Ainsi, le blé raffiné ne présente plus le moindre intérêt nutritionnel, et ne contient pratiquement plus que de l’amidon (qui est un sucre) !
Quant à la confiture, c’est un concentré de sucre avec quelques fruits. Même la confiture maison de Mamie !
Un ancien cadre de l’agro-alimentaire explique dans son livre comment la confiture industrielle est créée de toute pièce à partir de sucre : « On mélange une gelée de sucre avec du jus de sureau pour la couleur, plus un arôme de fraise ; puis on ajoute des akènes, ces petits grains visibles à la surface des fraises, qui s’achètent en boîte».
Pour le dire autrement, il n’y a pas la moindre trace de fruit dans la grande majorité des confitures modernes. Bon appétit 😉
3- Mangez des céréales
Les médias officiels, qui vivent des publicités payées par l’industrie agro-alimentaire (😉), répètent à l’unisson que « les céréales font partie d’un petit-déjeuner équilibré ».
En lisant l’étiquette des céréales, vous constaterez qu’elles sont pauvres en nutriments essentiels, mais riches en anti-nutriments -> substances présentes afin de protéger les plantes contre certains prédateurs et pour éviter la germination prématurée des graines.
Chez l’homme, de récentes recherches ont montré que ces mêmes substances peuvent entraîner l’inflammation et ses conséquences désagréables : douleurs articulaires, ballonnements, fatigue, etc.
Ces céréales sont bourrées de sucre avec les mêmes conséquences sur la santé que les jus de fruits : surpoids, diabète de type 2, maladies du cœur, et même certains cancers.
Votre pancréas ayant été obligé de produire beaucoup d’insuline, au bout de deux heures, vous ressentez un coup de fatigue : l’insuline fait chuter votre sucre sanguin et vous risquez l’hypoglycémie légère.
Avec, au bout de 25 ans, un risque accru de surpoids, diabète et hypertension.
4- Buvez du lait, mangez des produits laitiers
Pour info, parmi les 33 experts de l’ANSES (France) qui conseillent de consommer « trois produits laitiers par jour » en commençant dès le petit-déjeuner, il faut savoir que 26 d’entre eux ont déclaré des liens actuels ou anciens avec l’industrie agro-alimentaire.
Intéressant, non ?
Pourtant, il a été scientifiquement démontré à maintes reprises que le calcium apporté par l’alimentation ne réduit pas le risque de fracture.
Des chercheurs américains de Harvard ont même prouvé que le calcium en excès diminue l’absorption des autres minéraux, notamment le magnésium.
De plus, la majorité des adultes ne digèrent pas correctement le lactose : celui-ci nécessite d’être « coupé en deux » par une enzyme intestinale, la lactase, dont le rôle est de permettre au nouveau-né de digérer le lait maternel.
Or, la production de cette enzyme lactase diminue naturellement dès que cette période d’allaitement s’achève, rendant difficile la digestion du lait.
Cerise sur la gâteau, le lait de vache contient plusieurs hormones bovines inadaptées au corps humain, ainsi que des « facteurs de croissance » qui pourraient stimuler les cellules cancéreuses.
5- Prenez de la margarine, c’est moins gras que le beurre
La margarine a eu une brillante carrière grâce à la diabolisation du beurre à une certaine époque, et à d’excellents moyens marketing.
Pourtant, ces matières grasses industrielles sont fabriquées mécaniquement et chimiquement avec du palladium, du molybdène, du manganèse, du platine, du nickel, du cuivre, du chrome, etc…
Miam !
Plusieurs scientifiques de renommée ont expliqué que la consommation de lipides végétaux industriellement traités (les margarines) peut avoir des conséquences graves:
La première, directe, en fournissant une énergie moins facilement utilisable par nos cellules, avec création d’un engorgement gras.
La seconde, indirecte, en apportant des acides gras trans qui « prennent la place » d’autres acides gras indispensables à notre métabolisme.
Les conséquences pour nous peuvent être d’abord une sensation de fatigue permanente, une tendance à l’obésité, des ennuis de peau ou des muqueuses. Puis, si le déséquilibre alimentaire s’accentue, le terrain organique peut devenir propice aux maladies dégénératives telles que cancer ou sclérose cardio-vasculaire. »
Consommez donc du beurre, raisonnablement, mais surtout, évitez l’imposteur.
6- Le petit-déjeuner est o-bli-ga-toire
Ne pas prendre de petit-déjeuner a longtemps été critiqué, entre-autre parce qu’on observait statistiquement que ceux qui prenaient un petit déjeuner étaient en meilleure santé que les autres.
Mais l’explication est plus subtile, puisque le mode de vie de ceux qui sautaient le petit-déjeuner était « en moyenne » plus malsain : tabac, alcool, moins d’activité physique, etc.
Aujourd’hui, on sait que l’impact du petit-déjeuner dépend des personnes.
Certains supportent mal de s’en passer.
D’autres, au contraire, voient leur sucre sanguin se stabiliser grâce à ce « jeûne intermittent » de 20h du soir à 12h le lendemain.
Le mieux est donc de suivre votre instinct et/ou de faire l’expérience pendant un temps :
– Ressentez-vous le besoin de manger le matin ?
– Est-ce un plaisir ou une obligation ?
– Comment vous sentez-vous dans la journée ?
7- Evitez les œufs
L’œuf est victime d’une mauvaise réputation alors que c’est, au contraire, un aliment incroyable.
Il a été accusé d’augmenter le taux de cholestérol dans le sang et de favoriser les maladies cardiaques, ce qui a été largement prouvé et démontré comme étant faux et archi-faux.
On a ensuite tenté de lui coller sur le dos des relations douteuses avec la maladie d’Alzheimer.
Ce que des chercheurs finlandais ont récemment réussi à démentir : aucun lien entre la consommation d’œufs et le risque de souffrir de troubles de la mémoire ou de démence.
Au contraire : les mangeurs réguliers d’œufs ont obtenu, sur certains tests cognitifs, des résultats supérieurs à ceux qui n’en mangeaient pas !
On sait même maintenant que manger un œuf tous les jours n’augmente en rien le risque de maladie cardiaque et peut même baisser le risque d’attaque cérébrale (AVC), sauf pour les personnes diabétiques.
Le jaune d’œuf est riche en lutéine et en zéaxanthine, deux antioxydants qui protègent les yeux contre la cataracte et la dégénérescence maculaire (DMLA).
Alors, finalement, à quoi ressemble un bon petit-déjeuner équilibré et sain ?
Je vous propose de télécharger gratuitement mon dossier sur le petit déjeuner en cliquant sur ce lien. Vous y trouverez toutes les explications et les solutions pour un petit déjeuner sain, vraiment sain.
Et bon !
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